Le Cinéma était en état d’inertie depuis plusieurs mois à cause de la crise du Coronavirus. Toutes les salles de cinéma étaient fermées pour éviter la propagation de la maladie. Heureusement, la réouverture des salles a été autorisée par les autorités au Canada, mais cette réouverture est accompagnée de conditions très contraignantes.
Cinéma ouvert, mais pas de maïs soufflé pour les spectateurs
Le pop-corn est l’aliment par excellence que les gens consomment pendant qu’ils suivent des films. Devant toutes les salles de cinéma, un ou plusieurs stands de pop-corn sont installés afin de servir ceux qui viennent acheter leur ticket. Ainsi, lorsque vous circulez dans les salles de cinéma, vous apercevrez pack de pop-corn et sodas chez presque tout le monde.
Mais comment expliquer alors que les autorités en interdisent la vente ? C’est difficile à comprendre, mais il faut se rappeler que la vente de pop-corn peut constituer un canal de transmission de la Covid-19.
Les propriétaires et promoteurs de salle de cinéma totalement en désaccord avec cette interdiction
Alors qu’ils devraient être en train de se réjouir de la réouverture des salles de cinéma, les acteurs de ce domaine sont en pleine protestation, car la mesure qui l’accompagne ne les arrange aucunement.
En effet, selon leurs déclarations, la vente des tickets de salles ne constitue pas la moitié des recettes de leurs structures. C’est plutôt la vente de nourriture en l’occurrence du pop-corn qui leur permettait de faire de bonnes recettes, cela pourrait représenter 80 % de leur recette. Ils ne peuvent donc pas assurer le fonctionnement des salles de cinéma sans les bénéfices tirés de la vente de nourriture.
Pour convaincre les autorités du non-danger que cette vente constitue, les acteurs du domaine soulignent que l’été dernier, les salles de cinéma étaient ouvertes avec l’autorisation de vente de nourriture. Les choses s’étaient déroulées correctement. Cela prouve que leur personnel possède les capacités nécessaires pour se comporter de manière à ce que la maladie ne se propage pas dans leurs locaux.
Ils espèrent se faire entendre et comprendre des autorités canadiennes afin d’obtenir l’autorisation de vendre la nourriture. Peu importe la décision finale, le plus important sera de préserver la santé publique.